"L'étalement de spectre par saut de fréquence, parfois appelé étalement de spectre par évasion de fréquence (FHSS ou frequency-hopping spread spectrum en anglais) ou technique Lamarr, est une méthode de transmission de signaux par ondes radio qui utilise alternativement plusieurs canaux (sous-porteuses) répartis dans une bande de fréquence selon une séquence pseudo-aléatoire connue de l'émetteur et du récepteur.
Lamarr et Antheil proposèrent un système secret de communication applicable aux torpilles radio-guidées, qui avait pour but de permettre au système émetteur-récepteur de la torpille de changer de fréquence, rendant pratiquement impossible la détection de l'attaque sous-marine par l'ennemi. Il s'agit d'un principe de transmission (l'étalement de spectre par saut de fréquence) toujours utilisé pour les systèmes de positionnement par satellites (GPS, GLONASS…), les liaisons chiffrées militaires, les communications des navettes spatiales avec le sol et dans certaines techniques Wi-Fi et Bluetooth.
L'étalement de spectre offre trois avantages par rapport à l'utilisation d'une fréquence unique : il rend le signal transmis plus résistant aux interférences ; le signal est plus difficile à intercepter ; et les signaux transmis de cette manière peuvent partager des bandes de fréquence avec d'autres types de transmission, ce qui permet d'utiliser plus efficacement la bande passante ; le partage des fréquences ajoute un minimum de bruit à l'un et à l'autre types de transmission."
Saut cognitif - Il s'agit d'une étape de raisonnement plus importante ou difficile que les autres. Une marche d'escalier plus haute à franchir ...
Démarche dialectique : approche contradictoire permettant de traiter les données par leur confrontation simultanée (conflits cognitifs et sociocognitifs) afin de mettre en évidence leurs propriétés irréductibles.
La démarche dialectique convient particulièrement à l’enseignement de concepts abstraits comme, par exemple, la liberté, la démocratie, la souveraineté, qui permettent la confrontation de points de vue différents.
Par exemple, pour enseigner le concept d’apprentissage selon le point de vue behavioriste et selon le point de vue cognitiviste, le formateur utilise une technique de «petits groupes», distribue des documents à chaque groupe, et propose ensuite une confrontation des analyses. Cette démarche privilégie l’interaction sociale et le conflit sociocognitif.
Pour différencier le travail des élèves, on peut actionner tous les leviers d’une classe :
– Le temps (en donner plus ou moins)
– La difficulté (graduer le travail autour d’une même notion avec des tâches différentes)
– Les outils (autoriser ou pas la calculette, le cahier de leçons, les anciens exercices, les affichages…)
– La quantité (plus ou moins de travail à faire en un même temps)
– Les aides (avec ou sans celles de l’adulte ou des camarades)
– L’autonomie et complexité (un travail aux étapes indiquées ou pas)
– L’organisation (temps de travail collectif et individuel)
un obstacle épistémologique est un obstacle rencontré lors d’un apprentissage, qui n’est pas extérieur à l’apprentissage, mais inhérent à cet apprentissage. C’est un obstacle que tout individu ou presque (disons, que statistiquement un certain nombre d’individus) rencontre (nt) lorsqu’il progresse dans l’apprentissage d’une notion donnée.
Par exemple, lors de l’apprentissage des nombres décimaux, de nombreux élèves énoncent ainsi la suite des dixièmes : 2,6 2,7 2, 8 2,9 … 2,10 ! au lieu de 3,0. Ce n’est pas réellement une erreur de leur part, c’est une réaction logique provoquée par la méthode d’apprentissage et une difficulté inhérente à cet apprentissage.
Les obstacles épistémologiques, ainsi que les autres obstacles (voir ci dessus), nécessitent d’être anticipés afin de ne pas être perçus comme des erreurs propres aux élèves, et de pouvoir permettre aux élèves de les dépasser.
Pour Bachelard, le concept d’obstacle épistémologique est une rupture, principalement située au moment du passage du concret vers l’abstrait : c’est comme une résistance – au sens psychanalytique du terme – au développement de la connaissance, interne à l’acte même de connaître
"Lors de l’apprentissage des nombres décimaux, de nombreux élèves énoncent ainsi la suite des dixièmes : 2,6 2,7 2, 8 2,9 … 2,10 ! au lieu de 3,0. Ce n’est pas réellement une erreur de leur part, c’est une réaction logique provoquée par la méthode d’apprentissage et une difficulté inhérente à cet apprentissage."
On peut alors parler d' "obstacle épistémologique" ( Gaston Bachelard) ...

Bref, faut changer de "fréquence" pour apprendre, et changer
souvent en cas de " brouillage d' informations" ...
>>> " Saut de fréquence" ... : "Lamarr ( Hedy) et Antheil proposèrent un système secret de communication applicable aux torpilles radio-guidées, qui avait pour but de permettre au système émetteur-récepteur de la torpille de changer de fréquence, rendant pratiquement impossible la détection de l'attaque sous-marine par l'ennemi." WikiP.

Ainsi, le juk' box', qui nous " obligeait" d' écouter" d'aut' trucs ke les nôtres (" saut d' fréquence" ?) : Led Zep' / Riquita/ Elvis/ ...

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