mardi 16 septembre 2025

 

Pourquoi Redford ? 

Parce que Trintignant : progressiste, engagé dans la plupart de ses films, fidèle à certains réalisateurs, méchamment griffé par la vie ...

Parce que Newman : les 2 ont bien fait la paire ...

Parce que Meryll Streep : un couple d' écran fabuleux ...

Parce que Nathalie Wood, qu' il aima vraiment ...

Parce que " Zyeux-bleus".


"Il aura représenté, à lui tout seul – à la fois comme comédien choisissant avec soin les personnages qu’il incarnait mais aussi comme réalisateur – un certain cinéma américain, généreux, engagé, progressiste, romantique, un cinéma questionnant parfois, toujours avec douceur, les fondements mêmes de son identité. Il était également attaché à le changer, à promouvoir les nouveaux talents, à la recherche peut-être d’une utopie, au cœur et à côté d’Hollywood. Loin de la masculinité rugueuse et de la mélancolie conservatrice d’un Clint Eastwood ou de l’exubérance hédoniste et psychédélique d’un Jack Nicholson, il y avait Robert Redford. Il est mort le mardi 16 septembre à l’âge de 89 ans, a annoncé son agent Cindi Berger, citée par le New York Times."J F Rauger, Le Monde.



jeudi 11 septembre 2025

 

Podcasts : " Hoover" 11/01/12; " ma prem' fois" 18/01/12;  "The Master", 06/03/2012 ( petite leçon de cinéma!); Intro. du 09/01/2013; " Hitchcock" : super sur le cinéaste, casting raté;  ... 


mercredi 10 septembre 2025

 

le dictionnaire du cinéma du critique Jacques Lourcelles.


Les monstres sacrés sont finement traités, à l'aune de leur carrière - Hitchcock (24 notules !), Walsh (22), Ford et Chaplin (18), Hawks (15). Il ne se contente pas des valeurs sûres : il sort aussi de l'ombre des auteurs méconnus. Parmi eux : Edgar G. Ulmer, Leo McCarey, Allan Dwan, Richard Fleischer.

Lisez par exemple Ambre (p. 45), La Féline (p. 541), ­Johnny Guitare (p. 795), Pickpocket (p. 1146), Stromboli (p. 1405), Une étoile est née (p. 1507)... Vous goûterez alors du nectar de critique.

Si certains chefs-d’œuvre sont finement analysés (cinq pages sont consacrées à La Passion de Jeanne d’Arc de Dreyer), Lourcelles a surtout le chic de nous faire découvrir des raretés, tels ce Gibier de potence (Roger Richebé, 1951) « à voir absolument »Le Repas (Mikio Naruse, 1951) dont il loue « la précision et la finesse de la mise en scène » ou encore L’Expédition du Fort King (Budd Boetticher, 1953) dont il parle comme un « western brillant et attachant ».


A lire absolument notament pour : Le cabinet du docteur CaligariVertigo Les enchaînésCitizen Kane , La soif du mal , Tous en scène , Chantons sous la pluieLa rivière rouge , Rio Bravo l'aventure de Mme Muir , EveLa comtesse aux pieds nus , Voyage à Tokyo ...


Que de développements précieux en effet, que d'analyses fournies et d'aperçus fulgurants, chaque fois que Lourcelles s'attaque aux films et aux cinéastes qu'il affectionne, et qui forment une belle cohorte : soit, d'après le nombre et la densité des textes qui leur sont consacrés, Hitchcock, Fritz Lang, Walsh, John Ford, Cha¬ plin (en comptant les courts métrages), Preminger, Renoir, Hawks, Guitry et Cecil B. DeMille. (Viennent ensuite, par ordre décroissant : Mizoguchi, Jacques Tour¬ neur, Cukor, Dwan, Duvivier, Richard Fleisher, McCarey et Robert Siodmak). Nous ne sommes pas loin du fameux « carré d'as » cher à l'équipe des mac-mahoniens (et pour cause, Lourcelles en ayant été l'un des piliers), étendu à quel¬ ques figures maîtresses et un ou deux jokers attendus. En fin de jeu, on découvre des cartes basses négligées des dictionnaires similaires, et que l'auteur sort de sa manche avec l'aisance d'un virtuose du bonneteau : par exemple Jack Arnold, André de Toth, Stuart Heisler, Joseph H. Lewis, Roger Richebé, Pierre Billon... Et que l'on ne vienne pas dire qu'il s'en tient aux valeurs sûres, ou récemment exhumées, du cinéma classique, français ou hollywoodien, son inlassable curiosité le pous¬ sant aussi bien du côté de l'Algérie, de la Chine, de Cuba, de l'Égypte, de l'Inde, et j'en passe. Mieux : il dame le pion aux critiques « progressistes » les plus avan¬ cés en rédigeant des notices superbes, et exemptes de toute langue de bois, sur Youssef Chahine, Gleb Panfilov et Mikhaïl Romm. Où trouver, d'autre part, des études auusi approfondies sur Afonia, L'Aube de la famille Osone, Balkan Express, La canzone deU'amore, Carrefour ou Child of Divorce (et je m'arrête à la lettre C) ? On se demande bien ou Lourcelles a pu voir et revoir tout cela, pour le décorti¬ quer avec un tel luxe de détails. I



lundi 8 septembre 2025

 

Dans les postcasts " 5 heures, mercredi soir", Rudy et Hugues évoquent en de fins dialogues " Suspect n°1", série britannique extraordinaire menée par Helen Mirren, la BD " Detection Club" de Jean Harambat, le lettrage dans les "bulles" de BD, la fin de Michael Hutchence, .... Réécoute: il n' y aura plus mieux en radio ...  

dimanche 7 septembre 2025

jeudi 4 septembre 2025

 



A priori, son objectif est simple à énoncer:  l' étude  des rapports entre l'auteur, son oeuvre et le public qui la lit. Mais on voit tt de suite qu' il faut reformuler cet objectif en objectifS :  LES étudeS  des rapports entre l' "auteur", son "oeuvre" et le(S) public(S)  qui la lit/sent... 
Il ne faut pas avoir fait la Sorbonne pour admettre que la notion d'auteur est bien floue : auteur, donc? Ecrivain? A plusieurs? Sous "influence": comité de lecture ? Politique de l'éditeur ? Effets de la "Collection"? Effets des "oeuvres lues" - intertexte intériorisé ? Gestion des diverses "commandes" en cours ? Représentation du "lecteur présupposé" ? Concurrence avec d'autres "auteurs" ?  Effets " second métier" ( svt le principal ) ? Et tout ça......
De même, les notions d' oeuvres sont, elles aussi, largement discutées, même si chaque chapelain ne jure que par/pour sa paroisse...
Idem pour la notion de "lecteur/lecture", du décodeur à l'exégète, en passant par le critique "pro'", le prof, l' élève... le/ la ( de + en + disent les "sondages")  romanophage ou le lecteur du bus ( j'en suis)....
On y reviendra...
To' rat' !!

mardi 2 septembre 2025


 Leigh Brackett, née le  à Los Angeles en Californie et morte le  (à 62 ans) à Lancaster en Californie, est une romancière et scénariste américaine de science-fiction, de fantasy et de roman noir. Elle est l'épouse d'Edmond Hamilton, lui-même écrivain de science-fiction.

Œuvres

Romans

Elle a écrit plusieurs romans de science-fiction dont :

et des cycles de science fantasy dont :

  • Le Livre de Mars (édité selon les tomes chez MaraboutJ'ai lu, puis Pocket, enfin en un seul tome (Le Grand Livre de Mars) au Bélial')
    1. L'Épée de Rhiannon ((en) The Sword of Rhiannon1953)
    2. Le Secret de Sinharat ((en) The Secret of Sinharat1964)
    3. Le Peuple du talisman ((en) People of the Talisman1964)
    4. Les Terriens arrivent ((en) The Coming of the Terrans1967)
  • Cycle de Skaith
    1. Les Voix de Skaith, Le Masque Science-fiction no 50, 1976 ((en) The Ginger Star1974)
      Paru également en France sous le titre Le Secret de Skaith aux éditions Albin Michel
    2. Les Chiens de Skaith, Le Masque Science-fiction no 63, 1977 ((en) The Hounds of Skaith1974)
    3. Les Pillards de Skaith, Le Masque Science-fiction no 96, 1979 ((en) The Reavers of Skaith1976)

Elle a également écrit des romans policiers dont un seul est traduit en français : Sonnez les cloches (The Tiger Among Us, 1957) publié dans la Série noire en 1957 avec le no 406.

Cinéma

Leigh Brackett, née le  à Los Angeles en Californie et morte le  (à 62 ans) à Lancaster en Californie, est une romancière et scénariste américaine de science-fiction, de fantasy et de roman noir. Elle est l'épouse d'Edmond Hamilton, lui-même écrivain de science-fiction.

Œuvres

Romans

Elle a écrit plusieurs romans de science-fiction dont :

et des cycles de science fantasy dont :

  • Le Livre de Mars (édité selon les tomes chez MaraboutJ'ai lu, puis Pocket, enfin en un seul tome (Le Grand Livre de Mars) au Bélial')
    1. L'Épée de Rhiannon ((en) The Sword of Rhiannon1953)
    2. Le Secret de Sinharat ((en) The Secret of Sinharat1964)
    3. Le Peuple du talisman ((en) People of the Talisman1964)
    4. Les Terriens arrivent ((en) The Coming of the Terrans1967)
  • Cycle de Skaith
    1. Les Voix de Skaith, Le Masque Science-fiction no 50, 1976 ((en) The Ginger Star1974)
      Paru également en France sous le titre Le Secret de Skaith aux éditions Albin Michel
    2. Les Chiens de Skaith, Le Masque Science-fiction no 63, 1977 ((en) The Hounds of Skaith1974)
    3. Les Pillards de Skaith, Le Masque Science-fiction no 96, 1979 ((en) The Reavers of Skaith1976)

Elle a également écrit des romans policiers dont un seul est traduit en français : Sonnez les cloches (The Tiger Among Us, 1957) publié dans la Série noire en 1957 avec le no 406.

Cinéma

En tant que scénariste, Leigh Brackett a travaillé pour le réalisateur Howard Hawks, participant à l'écriture du Grand Sommeil (The Big Sleep) en 1945, puis de Rio Bravo en 1959, d'Hatari ! en 1961, El Dorado en 1966 et Rio Lobo en 1970. Elle a également écrit le scénario du film Le Privé (The Long Goodbye) de Robert Altman en 1973.