mardi 22 juillet 2014

"Fèdèfotos" !!!! ... Et trie !!!


Toi, poteau, qui  "fèdèfotos",

On le sait/ croit,  la photo, c'est du passé mis "à vif"...
C'est une ouverture en profondeur sur le tissu des ellipses...
C'est la révélation/ mise à jour des sentiers couverts de l'entr'images, du "péritexte" entre 2 eaux que chacun peut explorer depuis la rive, comme le fond de l'Ourthe à Sauheid; si tu te penches ( y penses): tu vois les galets, le limon, les tritons, mais le bâton qui touche et remue ce fond n'est jamais "droit"...( mais il "est" !)...
N'empêche, tu peux  (re-)"voir", et chacun (tout l'monde, écrivais-je) pour son propre conte,  son récit des origines ou sa geste perso... à partir de ses images "à lui" et/ou de "ces" images devenues siennes...
C'est d'autant plus important qu'on n'est jamais seul ds le geste photographique: ne serait-ce que ds l'objet/ la trace que l'on cliche, d'autres sont passés...
Leurs gestes aussi sont réveillés...
Et se recompose alors "la" geste des gens qui étaient ds le secteur...
Comme il y a un "monde du texte" selon Ricoeur, il ya un "monde des images", et ds ce monde, la photo , c'est de l'antémonde "à vif", de l'Histoire dans nos histoires, sur laquelle il "nous" (te) revient ( artiste, profs, amateurs éclairés,...) passants faits passeurs de ce qu'ils VIRENT, un peu les "ST Thomas" anti-virtuels, d'ouvrir une porte...
Ouvre donc une porte sur ce monde et partage un peu de ton capital symbolique... En ta présence!
Allez, to'ratt'
Bv)))


PS : 10 jours à Venise, 450 photos... Faut choisir, qd même...

jeudi 17 juillet 2014

Tableau noir ... En Québec / Wallonie (?)


A un cama' québecois...

... C'qui  ns ( le Québec / la Communauté Wallonie-Bruxelles)  pend au nez...

D' abord le sinistre constat  d'un "projet" de transformer les agaçants étudiants en "gentils cons soma t(i s)eurs' (Tant pis pour l'orth, ma conviction c'est que le sujet "réduit à consommer" en vient à "saumatiser; la "malbouffe" peut être aussi culturelle/symbolique, et l'anorexie/boulimie "intellectuelle", le moyen des "sans-grades" de ne plus "avaler des couleuvres"... Bref, "en avoir la nausée", c'est pas qu'une façon de "pasparler")...
 

En outre, l'urgence de se demander comment les ressources matérielles (les subsides/ le pognon) seraient allouées, à qui, par qui  "ET EN VERTU DE QUEL PRINCIPE"... Suivant Hugo, je pourrais dire "avec le fric des prisons fermées", mais la boutade ne dispense pas de rappeler, comme Gramsci et Petit Jérôme, qu'une société " post-révolutionnaire" ( donc après 1789)  doit garantir une listes de droits fondamentaux, dont celui de l'accès de tous au savoir ET à l'art, les 2 inséparables,  et moralement peu compatibles avec la recherche de profits autres que symboliques... 
Bref, une conception de l'art aux antipodes d' "Universal" ou de la "Fox", et du savoir aux antipodes de Pfizer ou de Lagardère, ce qui, faut bien l'admettre, n'est pas une mince affaire...

Qui peut (DOIT) gérer cela? En l'absence d'un monde uni autour des principes de l'anarcho-syndicalisme, sans aucun doute l'ETAT (donc nous tous)... Ce qui, pour la Belgique  comme pour le Canada (?) ( je m'abstiens encore de considérer le Parlement
de la Région wallonne, qui fait plus pitié qu'envie, comme doté  de ts les moyens/ pouvoirs de la fonction publique, au sens large, ) est loin d'être gagné...
 

De part et d'autres de l' Atlantique, on parle de "dérives sociales, politiques, culturelles" du "marché scolaire" ... En dehors d'un plan "Marshall" qui le cherche encore ( le Marshall), la Wallonie n'a guère trouvé de solutions à ses "manques", et une bonne partie de la population en est à se demander comment encore serrer la ceinture, sous peine de devoir chercher une corde pour se pendre... 

"Les représentations faisant les réalités", écris-tu... Enfin un point de désaccord! Eddy Merckx et Karl te répondraient que les représentations sociales sont filles des conditions d'existence,  ( vues aussi dans leur développement historique) lesquelles restent PLUS QUE JAMAIS soumises à " des rapports de force" entre les "composantes du corps social", autrement dit les classes...
Ce n'est pas nouveau d'affirmer que la lutte des classes " se vit" à tous les étages / les champs (?!)  de la société, y compris l'enseignement...

Je pense sincèrement qu'il faut "rafraîchir" cette conviction, et en mesurer toutes les conséquences, donc les revendications à défendre, avt de s'embarquer ds des "Etats généraux", eux-mêmes enjeux de rapports de force, donc de conflits de classes...

Je ne vois en cet instant que ce " travail préparatoire" ( le mot "stratégie" me fait cagar et pue le "Stal' ")  pour éviter au maximum ce "consensus flasque" que tu redoutes, d'autant plus probable que les niveaux d' "impuissance" sont multiples... Les Wallons, ployant sous le poids des communes , "grandes villes", provinces, régions, communautés et royaume finissant,  en savent qque chose...
 Bon, donc, si j' peux aider, ça m'intéresse - Littéralement: il y a plus d'épées au -dessus de nos têtes que d'aiguilles de cactus ds le cul d'Averell Dalton à la page 32 d'un album de Lucky Luke... Pardon pour ces sus-crites "réflexions qque peu bouffonnes" , mais le coeur y est...
A+, Franck